On peut toujours trouver des ‹‹Boys Clubs››

https://www.revuegestion.ca/boys-club-dans-les-milieux-de-travail-au-quebec-mythe-ou-realite

Après l’apogée d’un movement fort pour l’égalité et les droits égals pour les femmes, on ne s’attendrait pas à ce qu’il y a toujours des disparités aux travails. L’auteur Anne-Marie Tremblay explique que ce qui s’appellent des ‹‹Boys Clubs›› ne sont pas des mythes.

Avec l’aide de deux experts, Martine Delvaux et Sophie Brière, Tremblay présente des statistiques qui démontrent que la disparité existe toujours, partout des conseils d’administration aux bourses, aux travails des avocats. Elle aussi fait remarquer ce qui s’appelle le principe de la Schtroumpfette. C’est l’acte d’embaucher une femme pour ne pas avoir une mauvaise conscience; alors, même s’il y a une femme qui travaille quelque part, le principe de la Schtroumpfette dit que c’est toujours un ‹‹Boys Club››.

Vers la fin, elle discute comment les femmes peuvent éradiquer ce problème: comprendre ce qui cause le problème et ramasser beaucoup de soutien à mettre fin à ces tendances.

L’apogée de ce movement va de pair avec les autres movements dont nous parlons. Le movement souverainiste et le movement pour les droits égals pour les femmes, la critique pour les deux s’adresse aux grandes entreprises. Les deux groupes disent qu’ils ont été relégués aux travails pires pendant que les canadiens anglophones et les ‹‹Boys Clubs›› ont pris ce qui est le meilleur.

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